25 mars 2015
ni assez anormal ?
Où je ne me livre à rien, où je ne suis que mon propre spectateur comme à l’accoutumée, où seules des pensées sont générées, où mon corps n’est assimilable qu’à des maux de ventre, où je cherche à me rassurer en allant me coucher mais ne trouve pas le sommeil et donc continue à penser au combat contre Noir Boy Georges qui est perdu d'avance ??
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