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Soft Mobylette
29 janvier 2015

FIN DU MATCH. France-Slovénie

32-23. L'équipe de France est en demi-finale du Mondial. Hormis dix minutes de turbulences en seconde période, les Bleus n'ont jamais tremblé face à une équipe slovène plus coriace que l'Argentine, mais impuissante face au rouleau compresseur tricolore. Vendredi à Lusail, la France affrontera l'Espagne qui s'est imposée 25-24 face au Danemark grâce un but à la dernière seconde. Merci à tous d'avoir suivi ce direct, bonne soirée.

60'. Nouveau but de Luka Karabatic, que le speaker persiste à appeler Luka Karabatic. Quelqu'un a-t-il une explication ? 32-22.

59'. Nouveau but de Kevynn Nyokas, que le speaker persiste à appeler Alix Nyokas. Quelqu'un a-t-il une explication ? 31-21.

58'. Vous aurez corrigé de vous-même. Deuxième but de Luka Karabatic, 30 pour la France mène, 22 pour la Slovénie. La Marseillaise tombe très fort des gradins d'Al-Sadd.

58'. Trentième but de Luka Karabatic. 2 pour la France, 22 pour la Slovénie.

57'. Selon nos sources, à savoir les spectateurs français, on est en demie. On est en demi. On est, on est, on est en demie.

55'. La Slovénie retrouve le chemin du but d'Omeyer (entre les jambes, puis tout droit). Mais sur le banc vert et blanc, on n'y croit plus. 28-21. Et Nyokas signe joliment son entrée en jeu. 29-21.

55'. Temps mort. Pendant ce temps-là à Vera Cruz, 23-22 pour le Danemark.

54'. Envolée de Narcisse, et confirmation du retour d'une météo de saison, et de températures conformes à la normale (pour le Qatar). 28°C sur la France. 20 sur la Slovénie.

52. Narcisse ! Les Bleus repassent à +7. 27-20. Et les Slovènes, qui tentent d'aller plus vite que la musique, perdent à nouveau le ballon.On vient de vivre dix minutes complètement folles, mais la tempête semble être passée.

50'. Pétron de Karabatic, parade d'Omeyer, contre-attaque de Guigou, et l'arène explose ! Tout cela vient de se produire en quinze secondes. Je vous jure. 26-20.

48'. La double infériorité numérique n'a pas fait trop de dégâts, mais la maladresse des Bleus, revenus à 7 contre 7 est en train de faire des ravages. But slovène, et le match change de visage. 24-20. Le handball, c'est incroyable.

47'. Drôle de moment, drôle d'image à Al-Sadd. Onesta, le regard noir, discute de manière véhémente avec les officiels de la rencontre. Pour être honnête, personne ne comprend ce qui s'est passé, mais le résultat est assez terrible : deux joueurs français ont été exclus temporairement. Les Bleus jouent actuellement à 5 contre 7, ce qui rend assez difficile toute velléité de marquer. La Slovénie revient à cinq buts. Le public français ne rigole plus du tout. 24-19.

45'. Les deux frères Zvizej (Luka et Niko, euh pardon, Luka et Miha) défendent très haut, et perturbent énormément les transitions de l'équipe de France. L'arbitre a dû s'en apercevoir : il exclut Luka, très sévèrement, pour deux minutes. Celui-ci explose de colère devant une telle injustice, dont Barachet n'a visiblement rien à cirer. 24-17.

44'. Claude Onesta fulmine depuis quelques minutes, devant la maladresse de ses hommes, qui voient la Slovénie revenir à 6 buts maintenant. Pas d'affolement pour le sélectionneur, qui prend un temps mort. Ce qui est peut-être un petit signe d'affolement, tout compte fait. 23-17.

42'. Plus que sept pions d'avance pour les Bleus, qui seraient bien inspirés de retrouver l'esprit de la première période s'ils ne veulent pas d'une fin de match façon Danemark-Espagne (18-18 à l'heure où s'écrivent ces lignes). Bon, nous n'y sommes pas encore. 23-16.

41'. Les Slovènes se montrent plus adroits devant, et ont resserré leur défense. Mahé trouve tout de même la faille. 23-15.

40'. Je profite de cette rencontre pour présenter des excuses publiques aux supporters de l'équipe de France, que j'ai morigénés à plusieurs reprises dans ces directs en raison de leur chant comportant une atroce faute de français : "Allez, les Bleus, tes supporters sont là !" On m'a expliqué aujourd'hui que les paroles exactes étaient en fait : "Allez, les Bleus, LES supporters sont là !" Ce qui change tout, évidemment. En plus d'être myope, il semblerait donc que je sois légèrement sourd.

38'. Kentin reMahét un peu d'ordre dans tout ça. 22-13.

37'. Et un, et deux, et trois buts d'affilée. Ce qui nous permet de redécouvrir la présence de supporters slovènes dans l'enceinte, qu'on avait totalement oubliés. 21-13.

36'. STOP ! ARRÊTEZ TOUT ! Stoppez les rotatives et les serveurs : la Slovénie vient d'inscrire deux buts consécutifs. 21-12. L'effroi s'empare du public tricolore.

34'. Thierry Omeyer continue de protéger ses lucarnes avec amour, Nikola Karabatic ne cesse de déchirer celles du gardien slovène, avec amour aussi j'ai l'impression. 21-10.

31'. Les affaires reprennent à Al-Sadd, où les Bleus vont pouvoir faire tourner, et maintenir les cadres au repos, cependant qu'à Lusail, Danois et Espagnols vont s'entre-déchirer comme des morts de faim, et jouer une double prolongation dont les Danois sortiront vainqueurs, mais lessivés, ce qui aura pour conséquence qu'ils se feront marcher dessus en demi-finale par l'équipe de France, qui n'aura ensuite plus qu'à cueillir le titre mondial face à des Qataris écrasés par la pression de tout un peuple. Voilà, c'est mon pronostic. Barachet, qui va plutôt bien visiblement, et Mahé, ont remis la France sur les bons rails qu'elle avait empruntés pendant toute la première période. 20-10.

MI-TEMPS. Le jeu va reprendre d'ici deux minutes. Le temps pour moi de donner cette information à ceux qui ne l'ont pas encore, et pour vous de bien la digérer : le Qatar jouera les demi-finales du Mondial de handball, grâce à sa victoire (26-24) sur l'Allemagne. Ce sera face à la Pologne qui, autre info un peu compliquée à intégrer, a éliminé la Croatie (24-22).

MI-TEMPS. Blague à part, la forte impression laissée par le huitième face à l'Argentine se poursuit en quart contre la Slovénie, une équipe pourtant d'un tout autre calibre que les Sud-Américains. Gajic et ses camarades vont certainement revenir sur le terrain à reculons, tant ils viennent de vivre trente minutes étouffantes, entre l'étau défensif tricolore et la forteresse Omeyer (11 tirs arrêtés sur 21, contre 3/21 pour ses deux homologues slovènes).

MI-TEMPS. Si vous souhaitez une analyse de fond quant à la première mi-temps des Bleus, je dirais que tout marche comme sur des roulettes. Voilà. De rien.

MI-TEMPS. Ah pardon, je me suis trompé de match, je voulais parler de l'autre quart de finale qui se joue en ce moment à Lusail entre le Danemark et l'Espagne, et où les deux équipes sont à égalité : 11-11. Ça n'est pas tout à fait la même limonade à Al-Sadd, où, pour être honnête, on hésite presque à trouver un écran qui diffuse la seconde période de Danemark-Espagne, plutôt que de rester devant France-Slovénie.

MI-TEMPS. France-Slovénie : 18-10. Match extrêmement serré, à l'issue totalement incertaine. Aucune équipe ne semble prête à céder, et tout indique qu'on aura droit à des prolongations dans cette rencontre.

29'. Gajic penaltise Omeyer. 18-10. Sur l'offensive suivante, William Accambray chute lourdement et convulse de douleur sur le taraflex. Je rappelle qu'Accambray mesure 1,94m et pèse 104 kg. Je n'ose imaginer dans quel état je serais moi-même si j'avais pris le tampon qu'il vient de recevoir.

28'. Karabatic embarque l'arrière-garde slovène avec lui vers la droite de la zone, et délivre un amour de passe à Mahé, seul au poste de pivot. 18-9.

27'. Et troisième but pour Luka Zvizej. Qui a donc bien zvizej, une fois de plus. 17-9. Et inquiétude pour le genou de Barachet, qui semble avoir de plus en plus de mal à se relever lorsqu'il tombe, et vient de céder sa place sur le terrain.

26'. Quatrième but du jour pour Joli, le deuxième depuis l'aile. 18/18. 17-8.

25'. Guillaume Joli, entrée à la place de Porte, redonne huit buts d'avance aux Bleus grâce à un but à l'aile. Depuis trois matchs, Joli en est à 17/17 (dont 12/12 aux penalties)... C'est tout bonnement génial. 16-8.

23'. Le demi-centre Sebastian Skube envoie un scud dans les filets d'Omeyer. Un skube, même. 15-8.

22'. Daniel Narcisse reprend seul la tête du classement des buteurs de ce match. Et de quatre. 15-7.

22'. Narcisse a l'air de s'être réglé. 14-6. But slovène sur l'engagement ultra-rapide, que je n'ai une fois encore pas pu voir. Je vais profiter de la mi-temps qui approche pour faire passer la consigne de ralentir dans le vestiaire slovène. 14-7.

21'. Si vous vous êtes toujours demandé ce qu'était un kung-fu au handball, vous pourrez regarder le but slovène de la 21e minute. 13-6.

20'. Encore Karabatic, qui a pris une bonne taloche au passage. Et encore Porte. Ces deux-là en sont à trois buts chacun. 13-5.

18'. Les Slovènes engagent extrêmement vite après chaque but encaissé - et il y en a déjà 11, grâce à Porte, et nouvel exploit de Karabatic, à base de feinte de corps et cassage de cheville adverse -, ce qui ne me rend pas la tâche facile. Je les soupçonne de vouloir m'embrouiller pour que je me trompe dans le score et leur ajoute un but ou deux par mégarde. 11-5.

16'. Magnifique action schwenker - coup de canon à 6 mètres de Niko Karabatic, alors que Thierry Omeyer reprend ses bonnes habitudes. 9-4. Et si j'en crois les tribunes, qui ne saute pas n'est pas français.

14'. Il suffisait donc que je les taquine. Après avoir inscrit un joli but, Narcisse vendange un face-à-face. Pendant ce temps, de l'autre côté, Omeyer montre enfin quelques failles. 8-4.

12'. Xavier Barachet a-t-il mal au genou droit ? Il s'est fait poser un bandage lors du temps mort. Bon, ça ne l'empêche pas de décoller, et de marquer. 7-1. Cela semblait impossible, mais les Slovènes sont en train de faire encore mieux que les Argentins.

11'. Tir slovène au-dessus. Je le signale car ce n'est pas un arrêt d'Omeyer.

10'. Si ça ne vous embête pas, je vais dorénavant cesser de signaler les arrêts de Thierry Omeyer, qui se produisent à une fréquence bien trop rapide pour moi. Luka Karabatic et Sorhaindo offrent le premier set à la France. 6-1. La Slovénie prend un temps mort pour s'offrir trente secondes de répit. Malheureusement pour eux, les voilà déjà écoulées, et le match-calvaire peut reprendre.
@&1000 : j'ai dit que j'étais myope, pas que j'avais des lunettes. Cela dit, je devrais.

8'. Penalty réussi par Joli. Arrêt réussi par Omeyer. Avec l'équipe de France, c'est un peu toujours la même chose. Mais c'est pas grave. 4-1.

6'. Barachet rate son un contre un avec Primoz Prost, mais pas la cheville du gardien slovène en retombant. Prost se tord de douleur, et doit en même temps jubiler intérieurement d'avoir préservé son but. Toujours 3-1.

4'. Et voilà deux nouvelles parades dans la poche de jogging de Thierry Omeyer, qui est visiblement dans un grand soir. Ou alors simplement dans un soir normal, dans la mesure où il s'agit de Thierry Omeyer. Narcisse, sur le contre, feinte toute la défense, feinte le gardien, mais ne feinte pas le but. 3-1.

3'. Premier penalty pour la France, premier but pour Joli - cette fois, Michael Guigou n'a même pas voulu tenter sa chance. 1-1. Dans la foulée, premier arrêt avec le pied droit au niveau de l'oreille pour Omeyer, première tentative de décapitation sur Nikola Karabatic, première exclusion temporaire slovène, et premier but de Valentin Porte. 2-1.

1'. Les Bleus jouent en bleu. Les Slovènes jouent en slovène, c'est-à-dire en vert et blanc. Et Luka Zvizej vient d'ouvrir le score. 0-1.

19 heures. Messieurs Omeyer, Guigou, Sorhaindo, Karabatic Nikola, Karabatic Luka, Barachet, Porte, les remplaçants, le staff, les supporters, les internautes, bon match. C'est parti ! Toujours 0-0.

 

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