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Soft Mobylette
23 janvier 2015

Cas probablement unique dans la pop et le rock

 

Dimanche 4 juin 1967, The Jimi Hendrix Experience, mené par le guitariste Jimi Hendrix (1942-1970) avec Noel Redding (basse, 1945-2003) et Mitch Mitchell (batterie, 1946-2008), joue au Saville Theatre de Londres. Hendrix prévient : « Attention les oreilles ! »

Parmi les reprises de la deuxième chanson de l’album, composée par Lennon et McCartney et chantée par Ringo Starr, la version de Joe Cocker (1944-2014) est probablement la plus célèbre. Le pianiste, chanteur et auteur-compositeur Elton John publie en novembre 1974 un 45-tours paru en novembre 1973. Publié en octobre 1987, le premier album de The Wedding Present, groupe de Leeds (Angleterre) mené par le chanteur David Gedge et le guitariste Peter Solowka, s’intitule George Best, nom du joueur de football irlandais (1946-2005), star de l’équipe Manchester United dans les années 1960 et fierté de l’Irlande du Nord, qui figure en photographie sur la pochette. L’album original contient douze chansons. Après avoir revu des albums de King Crimson, The Stone Roses ou Pink Floyd avec divers camarades plus ou moins aussi allumés et fantasques qu’eux, le groupe psyché-pop The Flaming Lips, formé à Oklahoma City en 1983, s’est intéressé à Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band en compagnie de My Morning Jacket, Myley Cyrus, Moby, Phantogram, Foxygen etc. Clavecin, hautbois, cordes, etc. : tout y est dans cette interprétation respecteuse de She’s Leaving Home par Harry Nilsson (1941-1994), le grand copain américain des Beatles, concoctée pour son album Pandemonium Shadow Show (RCA, décembre 1967), qui contient aussi une reprise de You Can’t do That, face B de leur 45-tours Can’t Buy Me Love (juillet 1964). L’unique composition de George Harrison dans l’album Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band est interprétée par un ensemble de musicien traditionnels indiens, un ensemble de cordes et Harrison au chant et au sitar. Très influencée par la musique classique indienne, la chanson ouvrait la face B de l’album 33-tours. L’album des Beatles débutait par la chanson-titre, qui revenait, dans une version plus courte, juste avant la chanson finale A Day In The Life. D’où cette présence d’une deuxième reprise, après celle de Jimi Hendrix. Cette fois, c’est le chanteur brésilien Gilberto Gil qui est à l’honneur. Lors de la plupart des concert de sa tournée européenne en 2008 puis en Amérique du Nord ainsi que tout au long de la tournée 2009, Neil Young concluait ses concerts avec une version bruitisto-épique de A Day In The Life. Telle celle jouée lors du festival de Glastonbury, sur la scène Pyramid, le 26 juin 2009 et filmée par la BBC.

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