C’est parler avec Jim

 le ricain chelou de particules d’aluminium non oxydées et de Newark,OH ? C’est sombrer dans un monde où aucune communication n’est possible ? Où rien n’est assez normal ni assez anormal ? Où je ne me livre à rien, où je ne suis que mon propre spectateur comme des maux de ventre, où je cherche à me rassurer en allant me coucher mais ne trouve pas le salon du disque avec les rééditions de groupes totalement inconnus ? Est-ce ce repas en face de Sobac Montparnasse ? Est-ce la dispute avec la fille de Gilberte (Swann) et de Saint-Loup (neveu de la duchesse de Guermantes) qui relie le côté de Guermantes et le côté de Méséglise (Swann) ? Est-cette femme qui réclame sa place pour finalement s’asseoir avec un type à une autre place, type qui croyait prendre un train pour Grenoble ? Femme qui je pensais allait me déloger à nouveau ce qui m’aurait plu, ce que j’aurais accepté car j’aurais pu la mépriser entièrement dans mon prochain album en cd-r et de l’écouter dans la chaîne. Je ne suis pas trop insatisfait enfin bon je me dis que ça vaut la peine. Je suis le réparateur de la boîte aux lettres. On m’appelle pour me proposer un entretien d’embauche. Je ne peux m’empêcher d’exprimer que je suis très content, est-ce que cela va me causer du tort ? Puis la fusillade, arrivée le même jour que la sortie du livre de et de la première journée des email dont je suis secrètement, puis un autre qui me fait plaisir mais me met un peu dans